Tuesday, September 2, 2008

Freeways make Oakland miserable / Les autoroutes rendent Oakland malheureux

With a sense of deep satisfaction following five hours of moving, I surveyed my new rental home in the Lakeshore district of Oakland. I had spent the better part of July trying to find a place to live in this neighborhood, having bounced between temporary locations for the last 9 months. I debated between living alone and sharing, and in the end found that I preferred living with others and being able to live in a house as part of the deal. My new house is spacious and hosts a beautiful garden in the entire backyard. It also hosts, in the most parasitic of ways, the abutment of the 580 freeway just a couple blocks away. I was fully aware of this defect when I accepted the house. The freeway's noise is, however, abated by heavy vegetation, placement on a high (possibly man-made) ridge, modern rubber-impregnated alphalt, and a prohibition of trucks (it's a California "scenic" freeway, by the way.) I was impressed by the lack of noise when I visited the house, but when I settled into bed on a hot evening last night with windows open, I realized that once again I had blown it.

To be fair to me though, it's almost impossible not to live very close to a freeway in Oakland. The Google map says it all. Ugly yellowish-orange lines cut through every good and bad neighborhood of the city. Piedmont, which is an autonomous entity, was the only region with enough economic and political will to fight them off. And I suspect most Piedmont residents would be at a loss without these ribbons of noise and destruction cutting through the lives of their Oakland neighbors. Freeways, like the rest of the urban car infrastructure, are the type of abominations that have no place in today's greener and more socially just world. But they are securely in place, and most of us are more addicted to them than any other nonessential part of our lives, save cars themselves. Most every educated person that I talk to can't imagine their lives without the convenience of 10 lanes at 80mph. Even when I rent or borrow a car, I'm too tempted by habit and practicality to boycott them as I should.

How do we change the public's mentality about freeways and cars? When I press my carfree mantra, my sympathetic supporters say that high fuel costs will eventually reduce our use of cars. I couldn't disagree more. There's every indication that we're going to have cheap car transportation for decades to come. Electric cars will begin coming out in large numbers in 2009 or 2010, guaranteed. The battery price curve indicates that a 400 mile range with a 5 minute charge will make for a very affordable car in the next 5 or so years. As soon as drivers believe that their car is running on renewable energy and only costs a few cents per kilowatt-hour charge (the U.S. average cost of electricity is 10.44 cents/kilowatt-hour (http://www.eia.doe.gov/cneaf/electricity/epm/table5_6_b.html), and 10 kilowatt-hours gives you about the range of 1 gallon of gas), they will resume their love of the automobile. Sure, traffic will remain painful, but that's proven to be a surmountable nuisance for millions of drivers.

I'm going to use my new, unwanted neighbor as further motivation to change public opinion about cars and freeways. Cars are as much a social ill as an environmental or economic one. We need to show citizens what their urban world should look like. They should see what a peaceful stroll to a modern metro station feels like as they pass by friends and café seats that spill into a street made of stones instead of asphalt. They should see what Lakeshore Avenue would look like with a metro station entrance instead of 10 lane freeway and another 10 lanes of feeder streets and entrance/exit ramps surrounding it. The image below is the home page for the UC Berkeley Department of City and Regional Planning (http://dcrp.ced.berkeley.edu/). That's right. The number 2 urban planning school in the country is showing off the 580 freeway
through my neighborhood. Is this image a source of pride? Is this what urban planning in 2008 is all about? Maybe it's the brilliant construction of a parking lot under a freeway and little strips of grass where the farmer's market hunkers down on Saturdays that inspired them so. Well, I'm still applying to UC Berkeley despite this photo, but I guarantee you this photo will be promptly replaced if they choose me. Then I'll work on replacing the freeway with a metro line.

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C'était avec un sentiment profond que, après cinq heures de déménagement, j'ai admiré ma nouvelle maison de location dans le quartier de Lakeshore d'Oakland. J'ai passé la plupart de juillet en recherchant des lieux d'habituation après avoir déménager quelque fois pendant 9 mois. J'ai débâté sur les mérites de vivre seul ou avec des autres, et à la fin j'ai décidé que je préférais vivre avec des autres et que ça me permettrait vivre dans une maison. Ma nouvelle maison est spacieuse et a un beau jardin au fond. Elle est aussi l'hôte, dans un sens parasitaire, d'une butée de l'autoroute 580 qui n'est plus qu'à deux blocs. Je me rendais compte du défaut quand j'ai accepté la maison. Cependent, le bruit de l'autoroute était atténue par de la végétation épaisse, un placement haut sur une arête (possiblement synthétique,) de l'asphalte imprégné de caoutchouc, et l'interdiction de camions (c'est une California "scenic" freeway, soit dit au passage.) J'étais impressionné par le manque de bruit quand j'ai visité la maison, mais lorsque je me suis installé sur mon lit avec les fenêtres ouvertes le soit où il faisait chaud, je me suis rendu compte que j'ai encore raté.

Pour être juste, pourtant, c'est quasiment impossible de ne pas vivre proche d'une autoroute à Oakland. La carte de Google en témoigne. Les traits laids orange jaunâtre coupent à travers de tous les bons et mauvais quartiers de la ville. Piedmont, qui est une entité autonome, était la
seule région avec le volonté économique et politique suffissent pour les vaincre. Et je soupçonne que les résidents de Piedmont seraient perdues sans ses rubans de bruit et de destruction qui coupent à travers des vies de leur voisins d'Oakland. Les autoroutes, comme toute l'infrastructure de voiture, sont les types d'abominations qui n'appartiennent pas au monde de nos jours plus vert et équitable. Mais elles restent fermement en place, et la plupart parmi nous en sont plus dépendants que n'importe quelle partie pas essentiel de nos vies, sauf la voiture elle-même. La plupart des gens instruites avec lesquelles je parle ne peuvent pas imaginer leurs vies sans le convenance de 10 pistes à 80 miles à l'heure. Même lorsque je loue ou emprunter une voiture, le facilité d'utilisation et l'habitude me tente trop pour les boycotte comme je devrais.

Comment change-t-on le mentalité du publique par rapport aux autoroutes et voitures? Quand je fais pression pour obtenir mon mantra de liberté de la bagnole, mes amis partisans disent que l'haute prix du pétrole diminuera finalement notre emploi de voitures. Je ne pourrais pas être moins d'accord. Il y a tous les indications qu'on va avoir la transportation de voitures pas chère pour des décennies. Les voitures électrique commenceront sortir en grande quantité en 2009 or 2010, c'est garanti. La courbe de prix de batterie indique qu'une gamme de 400 miles avec une recharge dans 5 minutes fera une voiture très abordable dans 5 ans, plus or moins. Dès que les conducteurs croient que leur voiture entretient de l'énergie renouvable et ne coûte que quelques cents par kilowatt l'heure (le coût moyen aux États Unis pour l'électricité c'est 10.44 cents par kilowatt l'heure (http://www.eia.doe.gov/cneaf/electricity/epm/table5_6_b.html), et 10 kilowatt l'heure vous donne la gamme d'environs 1 gallon (3.785 l) de pétrole), ils reprennent leur amour de la voiture. Bien sûr, la circulation restera douloureuse, mais on a éprouvé que c'est un embêtement surmontable pour des millions de conducteurs.

Je vais utiliser mon nouveau voisin indésirable comme motivation de plus de changer l'opinion publique sur les voitures et les autoroutes. Les voitures sont autant une maladie sociale qu'environnemental ou économique. Il faut démontre aux citoyens comment devrait être leur monde urbain. Ils devraient connaître une promenade vers une station métro moderne en passant des amis et des sièges d'un café qui se répandent dans une rue de pierre au lieu d'asphalte. Ils devraient voire ce que l'avenue ressemblerait avec une entrée de métro au lieu d'une autoroute de 10 voies et 10 rampes et voies supplémentaires de plus. L'image au dessous c'est le page d'accueil pour le département d'urbanisme de l'Université de Californie à Berkeley (http://dcrp.ced.berkeley.edu/). Oui, c'est vrai que l'université numéro 2 d'urbanisme du pays exhibe l'autoroute 580 ou elle traverse mon quartier. Est-ce une source de fierté? Est-ce ce que
répresente l'urbanisme de 2008? Peut-être c'est la construction brillante d'un parking sous l'autoroute et les petites bandes de pelouse ou s'accroupit le marché de fermiers le samedi qui les ont inspirés? Eh bien, je vais toujours m'inscrire à Berkeley, en dépit de ce photo, mais je vous assure que le photo sera remplacé rapidement s'ils me choisissent. Puis je travaillerai pour remplace l'autoroute avec une ligne de métro.

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